Profiter de mes jours off (merci Papi!!) pour finir mon projet couture et retrouver les enfants tôt au parc.
Merci à toi, Papi-Yen, qui m'offre, depuis l'autre bout du monde et l'autre côté de la vie, la joie d'un moment off.
Un moment pour penser à toi et pleurer.
Un moment pour faire ce qui n'a jamais le temps d'être fait,
Un moment pour finir mes projets de couture,
Un moment pour profiter de mes enfants,
Un moment pour réaliser à quel point le temps passe vite et comme il est important d'aimer. Maintenant, ceux qui font partie de nos vies.

Au "bac à sable devant Carrefour Market": au milieu en rouge mon petit, un peu plus loin, ses copains de garde : Théo pousse William assis dans la poussette tandis qu'au premier plan, Noa montre quelque chose Tata. Au loin Anthony et mon Grand se racontent des choses qui leur appartiennent. On ne voit pas sur cette photo Nina, la soeur de Théo, ni Léa, la soeur de Noa.

La couverture commencée en octobre-novembre dernier trouve enfin le temps d'être terminée. Plein de Tahiti, elle me permet de me connectée avec cette partie de moi qui est en deuil et avec cette partie de moi pleine de vie : mon fils.

Merci à toi, Papi-Yen, qui m'offre, depuis l'autre bout du monde et l'autre côté de la vie, la joie d'un moment off.
Un moment pour penser à toi et pleurer.
Un moment pour faire ce qui n'a jamais le temps d'être fait,
Un moment pour finir mes projets de couture,
Un moment pour profiter de mes enfants,
Un moment pour réaliser à quel point le temps passe vite et comme il est important d'aimer. Maintenant, ceux qui font partie de nos vies.

Au "bac à sable devant Carrefour Market": au milieu en rouge mon petit, un peu plus loin, ses copains de garde : Théo pousse William assis dans la poussette tandis qu'au premier plan, Noa montre quelque chose Tata. Au loin Anthony et mon Grand se racontent des choses qui leur appartiennent. On ne voit pas sur cette photo Nina, la soeur de Théo, ni Léa, la soeur de Noa.

La couverture commencée en octobre-novembre dernier trouve enfin le temps d'être terminée. Plein de Tahiti, elle me permet de me connectée avec cette partie de moi qui est en deuil et avec cette partie de moi pleine de vie : mon fils.

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